Editeur: Edition Gallimard
Genre: Poésie
page: 160
page: 160
SYNOPSIS: « Le papier, nuit blanche. Et les plages désertes des yeux du rêveur. Le cœur tremble ». De la page aux plages comme échappées du rêve, de la lecture, Les Mains libres de Paul Eluard et Man Ray, recueil de 1937, reparaît en collection de poche chez Poésie/Gallimard. Une édition magnifique, un beau livre, en petit format. L’occasion de (re)découvrir les dessins de Man Ray illustrés par les poèmes de Paul Eluard. Car les textes illustrent ici le dessin, et non l’inverse, en une réappropriation moderne, surréaliste des livres d’emblèmes de la Renaissance.
MON AVIS: J'ai vraiment détesté lire cette ouvrage. Je dois même avouer que si je n'avais pas été obligé de le lire pour les cours, je ne l'aurai certainement jamais acheté. Mais par la force des choses, j'ai donc lu ce recueil, vraiment sans apprécier mon moment de lecture.
J'ai eu 6 mois de cours dessus, j'ai donc inévitablement fini par l'aimer un minimum. Je pense que pour pouvoir l'apprécier il faut déjà avoir un petit peu de connaissances du surréalisme.
Les dessins de Man Ray ont précédé les poèmes de Paul Eluard, c'est pour moi ce qui fait toute l'originalité de ce recueil. J'ai plus aimé les dessins que les poèmes tout simplement parce que je n'aime vraiment pas la poésie bien que je trouve certains poèmes de Victor Hugo vraiment magnifiques c'est évident.
J'ai trouvé ce recueil de poèmes beaucoup trop complexe pour qu'on puisse l'aimer sans l'étudier, ce que je trouve un peu dommage.
"Fil et Aiguille
Sans fin donner naissance
Sans fin donner naissance
A des passions sans corps
A des étoiles mortes
Qui endeuillent la vue"
11/20
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